La Maison du péril

La Maison du péril de Agatha Christie, chez le Livre de Poche, 222p, traduit de l'anglais par Robert Nobret. 

Un tableau qui se décroche à la tête d'un lit, un rocher qui dévale une falaise et s'écrase sur le sentier, les freins d'une voiture qui lâchent, une balle perdue... Qui en veut à la vie de Miss Buckley ? Hercule Poirot n'aura de cesse de démasquer le coupable. 

Mon avis:  J'avais envie de lire quelque chose de léger sur mon balcon pour apprécier le printemps et faire une pause dans Le monde d'hier dans le texte de Zweig, Agatha Christie me semblait à la hauteur de cette mission et j'ai jeté mon dévolu sur ce livre. Mon dernier Christie,  Jeux de Glaces, lu en Alsace, m'avait déçue. 

Ici il n'en fut rien ! J'ai mis 24h pour terminer ce bouquin, je me suis laissée prendre par l'intrigue, fasciner par la kyrielle de personnages plus ou moins timides ou louches et la maison de famille. Décidément, j'aime les livres dont les héros sont des maisons ;-). J'ai apprécié le rythme soutenu plein de rebondissements de la narration et les avis du narrateur, Hastings, qui donnent l'impression d'être à deux à suivre l'affaire. 

Mais la cerise sur le gâteau reste le dénouement, inattendu, mais qui tient la route. Mais, bien évidemment !?  

Comments

[ElsaBerck]

oui, il nous fait même une mini-déprime due à son orgueil au milieu du roman ! :)

[Alain]

Poirot y est plus vaniteux que jamais...J'aime bien.